Article de Blaise Gnimassoun, maître de conférences au BETA (Université de Lorraine, dans The Conversation, le 17 novembre 2021.
Longtemps considérée comme une perte, voire un désastre, pour l’Afrique, et parfois associée à une « fuite des cerveaux », la diaspora africaine se révèle, au contraire, être un puissant vecteur de développement pour le continent. Cela sur plusieurs fronts, y compris dans le cas des expatriés préalablement « bien » formés en Afrique. Mais elle pourrait être encore plus décisive, tant son potentiel est immense.
Pour ce faire, certains leviers bien connus comme les transferts financiers personnels vers l’Afrique, doivent être redynamisés. D’autres, sous-estimés et sous-exploités, voire méconnus, doivent être activés.
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